Luxembourg – France - Belgique

Déposséder – dépossédé, la mémoire des évincés

Le Centre national de littérature (CNL) et le Luxembourg Centre for Contemporary and Digital History (C²DH) de l'Université du Luxembourg organisent des journées d’étude internationales sur les mécanismes de dépossession pendant la Seconde Guerre Mondiale.

Chaise
Chaise ayant appartenu à la famille Siegfried (1868-1941) et Anna (1874-1942) Davidson, arrivée au Luxembourg en août 1939. Centre national de littérature, collection d’objets.

© Marc Siweck

« Plus rien ne nous appartient : ils nous ont pris nos vêtements, nos chaussures, et même nos cheveux (…). Ils nous enlèveront jusqu'à notre nom : et si nous voulons le conserver, nous devrons trouver en nous la force nécessaire pour que derrière ce nom, quelque chose de nous, de ce que nous étions, subsiste. » La bouleversante citation de Primo Levi, (« Si c’est un homme », 1947) constitue l’un des multiples témoignages de la dépossession que subirent certaines catégories d’Européens, et tout particulièrement la population juive, entre 1933 et 1945.

La suite est réservée aux abonnés.
  • Déjà abonné ?
  • Se connecter
Indiquer votre adresse email utilisé lors la création de votre compte utilisateur
Indiquer votre mot de passe utilisé lors de la création de votre compte (8 caractères dont majuscule et chiffre)
  • Accédez à tous les contenus du site en illimité.
  • Les newsletters exclusives, éditos et chroniques en avant-première

Aucun abonnement actif avec votre compte
Commandez un abonnement pour lire la suite

Attention

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des contenus et services adaptés à vos centres d'intérêts.