Belgique – Luxembourg – Grand Est

Les sauts de puce aériens ont du plomb dans l’aile

Le gouvernement belge entend interdire les vols à très courte distance dans l’espace intérieur, mais aussi dans un rayon frontalier de 25 kilomètres. Côté français, les vols de Lorraine Aéroport- Lyon ont cessé, faute de clients.

avion
© André Faber

Depuis la crise sanitaire, de riches résidents belges semblent avoir pris l’habitude de prendre l’avion comme on emprunte un taxi. Entre 2019 et 2022, les vols de très courte distance ont progressé de 10 % pour atteindre 1.822 déplacements à l’intérieur des frontières belges. Pour endiguer ces « sauts de puce » entre les aéroports de Bruxelles, Charleroi, Anvers et Liège, mais aussi dans une bande frontalière de 25 kilomètres, Georges Gilkinet, Vice-Premier ministre et ministre de la Mobilité, a déposé en décembre dernier un projet d’arrêté royal qu’il espère faire adopter d’ici à la fin de la présidence belge de l’Union européenne, le 9 juin prochain.

La suite est réservée aux abonnés.
  • Déjà abonné ?
  • Se connecter
Indiquer votre adresse email utilisé lors la création de votre compte utilisateur
Indiquer votre mot de passe utilisé lors de la création de votre compte (8 caractères dont majuscule et chiffre)
  • Accédez à tous les contenus du site en illimité.
  • Les newsletters exclusives, éditos et chroniques en avant-première

Aucun abonnement actif avec votre compte
Commandez un abonnement pour lire la suite

Attention

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des contenus et services adaptés à vos centres d'intérêts.