Selon le sociologue Philippe Hamman, le transfrontalier a besoin d’intégration, mais aussi de marqueurs
Parue ce mercredi 2 juillet, la publication scientifique « Les métropoles transfrontalières » étudie trois agglomérations, dont Strasbourg. Elle démontre que les territoires voisins d’un pays étranger ont besoin de la persistance d’écarts de part et d’autre de leur frontière pour se légitimer comme transfrontalières.

Avec ses 104 pages parues mercredi dernier le 2 juillet, l’ouvrage « Les métropoles transfrontalières » n’est qu’un petit « pavé ». Mais il est quand même jeté dans la mare. Dans le cadre de « Popsu », un programme de recherche en urbanisme entre l’Etat et 15 métropoles françaises, le professeur en sociologie Philippe Hamman (université de Strasbourg) a été invité à plancher sur les enjeux transfrontaliers propres aux agglomérations de Lille, de Nice et de Strasbourg,. Là « se superposent des frontières et des fonctions nationales, régionales et locales » qui se croisent « avec les usages qui en sont faits par une diversité d’acteurs », selon la présentation du Popsu.
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Strasbourg, la métropole qui enjambe le Rhin. © Adeus