France – Allemagne – Belgique – Luxembourg

Face à la détérioration du service, les cheminots allemands, français et belges haussent le ton

Les organisations syndicales des cheminots d’Allemagne, mais aussi de France et de Belgique augmentent la pression sur les entreprises ferroviaires publiques. Les revendications, centrées sur les augmentations salariales et la réduction du temps de travail, masquent une préoccupation partagée quant à la privatisation imminente des entreprises ferroviaires.

André Faber
© André Faber.

L’Europe de l’Ouest connait une nouvelle crise, celle du train. Le climat se tend entre les syndicats cheminots et les entreprises publiques ferroviaires d’Allemagne (Deutsche Bahn), de Belgique (SNCB) et de France, toutes trois en proie à la détérioration de leurs services. Seuls les CFL luxembourgeois se portent plutôt bien. Certaines causes portées par les cheminots des trois pays sont similaires, comme les augmentations de salaire ou la réduction du temps de travail. Or, elles cachent une inquiétude bien plus grande, celle de la privatisation des entreprises ferroviaires, soit leur ouverture à la concurrence.

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