Wallonie – Meuse

Il y a cinq ans, la Belgique était-elle assez préparée pour affronter la peste porcine africaine ?

Le 13 septembre 2018, les premiers cas de peste porcine africaine (PPA) avaient été détectés parmi les sangliers dans le sud de la Belgique. L’épizootie a mis deux ans à être éradiquée. Côté français, les chasseurs frontaliers avaient été rapidement mobilisés pour éviter qu’elle ne franchisse la frontière.

sanglier
© LCC

Du 13 septembre 2018 au 23 juillet 2020, la peste porcine africaine (PPA), un fléau viral, qui ne se transmet pas à l’humain, mais tue les suidés contaminés en quelques jours, a touché 833 sangliers dans le sud de la Belgique, selon les données du gouvernement de Wallonie. La panique s’est déclenchée lorsque les premiers sangliers malades ont été repérés à dans la commune d’Etalle, en province du Luxembourg belge, à vingt minutes en voiture de la frontière française. L’hypothèse la plus fréquemment avancée pour expliquer l’origine de cette épizootie est celle d’une contamination par un déchet alimentaire abandonné – en provenance des pays de l’Est, où la maladie est devenue commune - sur une aire d’autoroute. 

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