Les Vénus anatomiques dansent pour libérer les corps féminins
La compagnie de la chorégraphe mosellane Sarah Baltzinger est en résidence la semaine prochaine à Metz pour préparer les premières de Vénus anatomique, au Grand théâtre du Luxembourg les 5 et 6 décembre.
Flirtant tout à la fois avec les images idéalisées et des objets scientifiques, les Vénus anatomiques articulent des représentations a priori peu compatibles. La danseuse et chorégraphe Sarah Baltzinger s’empare de l’ambiguïté de ces corps de cire nés au XVIIIe siècle, à vocation scientifique mais aux formes pétries par les représentations sociales, pour dénoncer et déconstruire la confiscation des corps féminins. Avec sa troupe, elle met la dernière main au spectacle Vénus anatomique la semaine prochaine à Metz, avant les grandes premières au Grand théâtre du Luxembourg, les 5 et 6 décembre.
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© Brian Ca