C’est le Rhin. Le Parlement français a voté récemment la pérennisation de la compagnie de gendarmerie fluviale franco-allemande, dont l’existence était jusqu’à présent conditionnée par des accords administratifs.
Spécialiste du rachat temporaire d’actifs de petites et moyennes entreprises, le fonds d’origine alsacienne Capital initiative a financé depuis sa création 170 opérations et gère un actif de 42.3 millions d’euros à travers Capital initiative RTA et plusieurs antennes indépendantes. Gérard Staedel, ancien directeur de la succursale du Crédit Mutuel – CIC à Francfort, et Nathalie Hans ont créé l'antenne Capital initiative Alsace – Monde pour exporter ce modèle alternatif qui aide les entreprises alsaciennes à financer leurs projets ou à sortir d’une mauvaise passe.
Mode de financement alternatif ou complémentaire des prêts bancaires, le crowdlending associe les particuliers aux investissements immobiliers. Dans la Grande Région, les plateformes participatives belges misent sur le manque de logements au Luxembourg.
L’équipe d’Interreg Rhin supérieur a réuni à la mi-septembre 120 personnes à Strasbourg, dont une majorité de jeunes, pour réfléchir à la manière de davantage prendre en compte leurs aspirations et les impliquer dans les projets.
La Confédération accorde un peu plus de 8 millions d’euros s'ajoutant aux 125 millions de fonds prévus par la programmation 2021-2027 du programme de coopération transfrontalière dans le Rhin supérieur, pour le soutien aux dossiers concernant la région de Bâle. Les cinq cantons frontaliers abondent la même somme.
Présentée lundi, la nouvelle programmation des fonds structurels européens pour le Grand Est attribue à la région une enveloppe d’1,15 milliard d’euros jusqu’en 2027 pour l’environnement, le développement économique, la santé et l’agriculture.
Lancé en 2011, le programme Offensive Sciences de mise en réseau des acteurs de la recherche du Rhin supérieur bénéficie d’une augmentation des financements publics de soutien aux projets pour sa nouvelle phase qui démarre au début de l’année prochaine.
Michel de Mathelin, vice-président de l’université de Strasbourg, revient sur le projet KTUR, dont la conférence de clôture s'est tenue le 22 septembre dernier. L’université de Strasbourg succède au KIT (Karlsruher Institut für Technologie) dans l'animation du réseau qui a permis d'accélérer les coopérations en matière d’intelligence artificielle et de transfert de connaissances.
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