Le projet de création d’un Parc naturel régional (Naturpark Baselbiet) au sud-est de Bâle se heurte à des résistances. Une série de décisions communales doit sceller son destin, à partir de mars et d’ici septembre prochain.
- Romain Gascon
Alsace Nature. Cette association commémorera ce samedi 15 février la mobilisation citoyenne transfrontalière qui a amorcé la sauvegarde des forêts alluviales du Rhin.
- Romain Gascon
Rien moins que la bonne cohabitation avec les humains ! Quasiment disparu au XXe siècle, le castor européen a repris du poil de la bête en recolonisant les fleuves et des rivières. Il lui reste à se faire accepter sur terre, où ses talents d’ingénieur peuvent modifier le paysage.
Lancé la semaine dernière, le projet Interreg va aménager deux passes à poissons sur le Vieux Rhin et affiner la méthode pour rendre leur biodiversité à 1.650 hectares de milieux fluviaux, au sud de Strasbourg.
Face au risque imminent d’extinction du tétras lyre en Wallonie et du grand tétras dans les Vosges, les deux territoires conduisent des programmes distincts, mais partagent leurs expériences. Le Parc de Sainte-Croix, en Moselle, participe aux deux aventures.
La semaine dernière, le Comité permanent de la Convention de Berne a voté à une forte majorité le déclassement du loup d’espèce « strictement protégée » à « protégée », à Strasbourg. Tandis qu’écologistes et scientifiques s’inquiètent des conséquences de cette rétrogradation, les pouvoirs publics se veulent rassurants.
La partie alsacienne d’Ermes-ii-Rhin a présenté ce mardi à Colmar les résultats au mitan du projet Interreg, qui passe au crible les polluants anciens et émergents dans la nappe phréatique du Rhin supérieur.
Du 2 au 6 décembre à Strasbourg, le comité permanent de la Convention de Berne tranchera la demande de rétrogradation du statut de protection du loup déposée par la Commission européenne. Dans le Rhin supérieur et la Grande Région, deux sous-populations européennes ont commencé à se mêler.
