Le Trifels est sorti de son long sommeil
La forteresse au bord de la frontière française qui connut ses heures de gloire au Moyen-Age a été reconstruite après la dernière guerre, pour devenir l’apogée d’agréables promenades dans la forêt de la réserve mondiale de la biosphère.
Le Trifels se mérite. Il n’est perché qu’à 500 mètres au sommet du Sonnenberg, mais celui-ci conclut une pente non négligeable par endroits. Les circuits sont cependant suffisamment variés pour s’adapter à toutes les conditions physiques. Le plus court permet de poser sa voiture presque à son pied (parking payant à 1,50 euros), un autre y conduit au bout de 2,5 km et un troisième en est distant de 4,5 km et part à proximité de la charmante Kletterer-Hütte qui permet de se restaurer. La randonnée plus ou moins longue permet de respirer l’air d’un bout de la réserve mondiale de la biosphère partagée entre les Vosges du Nord et le Pfälzerwald.
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© Dirk Weber